jeudi 11 mars 2010

Séries - Kjell Eriksson

code couleurs: suédois / français / anglais
Éditeur français = Gaïa. Traduction Philippe Bouquet.

Série Ann Lindell (dix titres, série terminée)
  1. Den upplysta stigen (*), 1999
  2. Jorden må rämna, 2000 / La terre peut bien se fissurer, 2007
  3. Stenkistan, 2001 / Cercueil de pierre, 2008
  4. Prinsessan av Burundi, 2002 / La princesse du Burundi, 2009 (billet) / The princess of Burundi, 2006
  5. Nattskärran, 2003 / Le Cri de l'engoulevent, 2010 /
  6. Nattens grymma stjärnor, 2004 / The cruel stars of the night, 2007
  7. Mannen från bergen, 2005 / The demon of Dakar, 2008
  8. Den hand som skälver, 2007
  9. Svarta lögner, rött blod, 2008
  10. Öppen Grav, 2009

(*) prix du meilleur premier polar décerné en 1999 par la Svenska Deckarakademin

4 commentaires:

Canel a dit…

Le 1er n'a jms été traduit ? ils ont commencé par le 2, donc on saisit l'histoire d'Anna en vol !?!? :S
Lu un tiers de "Le cri de l'engoulevent", envie de savoir ce qui s'est passé avant entre les policiers.
Pour l'instant, ça me fait pas mal penser à Kallentoft...

Paul Arre a dit…

En effet le premier n'est pas disponible en français. Mystères de l'édition... Pour ma part je n'ai lu que la Princesse du Burundi et je n'ai pas trouvé gênant d'attaquer en pleine série.

Canel a dit…

Non, c'est vrai, les intrigues étant indépendantes (du moins il me semble), ça va.
Mais ouch, au début, que de personnages aux noms impossibles (comme d'hab avec les romans scandinaves) ! il m'a fallu + de 50 p. pour commencer à m'y retrouver sans regarder mon papier ! :-(

Paul Arre a dit…

Je connais deux séries qu'il est préférable (mais pas obligatoire) de lire intégralement et dans l'ordre: les romans d'Arnaldur Indridason et ceux de Camilla Läckberg. L'histoire personnelle des personnages centraux y ont en effet une grande importance.

Pour les noms impossibles prépare-toi à souffrir un peu avec L'Hypnotiseur ;-) De mon côté c'est Arni Thorarinsson qui me donne parfois mal au crâne (énormément de noms islandais de lieux et de personnages) mais ses histoires sont tellement intéressantes que ça compense largement le "problème".